La télé et vous

Samedi 31 janvier 2015

Rubrique "PEOPLE" aujourd'hui !

-Manon Manœuvre Fille du critique rock Philippe Manœuvre, Manon raconte son adoles­cence tour­men­tée. Une descente aux enfers dont son célèbre père a fini par la sortir.À 26 ans, Manon Manœuvre vient de publier Petite agitée chez Flam­ma­rion, le récit de son adoles­cence turbu­lente aux Etats-Unis. Très tôt confron­tée à la drogue et à l’al­cool, Manon-Manoeuvre-"Mon-pere-a-fait-11-000-kilomètres-pour-me-sortir-de-prison-" la jeune fille revient sur sa descente aux enfers auprès de nos confrères du JDD« Oui, j’ai vécu une adoles­cence sexe, drogue et rock’n’­roll. C’était une sorte de crise d’ado­les­cence un peu plus aigüe. Un peu plus hard­core que d’autres j’en suis sûre. Mais, nous sommes nombreuses, dans le monde, à être des adoles­centes qui ne savent pas où se mettre, qui ne rentrent pas dans les rangs. » Après la sépa­ra­tion de ses parents, Manon ne voyait plus trop son célèbre père, l’ex-juré de la Nouvelle Star, Philippe Manœuvre. « Une à deux fois par an, se souvient-elle. Du coup, quand on passait du temps ensemble, il tentait de ne pas avoir d’obli­ga­tions profes­sion­nelles. Il en profi­tait pour me racon­ter des anec­dotes sur sa jeunesse. Il faisait ça pour m’in­té­res­ser à la musique, et ça marchait très très bien. » Dès l’âge de 14 ans, Manon teste une drogue dure : « Cette drogue, lorsqu’on se renseigne un peu dessus, on réalise que c’est comme du crack ! C’est hyper dange­reux. C’est très addic­tif. J’ai eu beau­coup de chance. Je n’en ai pris qu’une seule fois et je n’ai jamais voulu en reprendre à cause de ce que ça m’a fait subir… » Une prise de conscience qui ne l’em­pêche pas de s’en­fon­cer dans un cauche­mar urbain à Los Angeles, une ville qu’elle quali­fie dans son livre de « cité sous Prozac et vin blanc » : « À l’époque, je ne voyais pas du tout ça comme sexe, drogue et rock’n’­roll… »Inter­née dans le centre de déten­tion pour jeunes délinquants de Provo Canyon School dans l’Utah, Manon se souvient que c’est à ce moment là qu’elle a réalisé l’im­por­tance d’avoir un papa : « Mon père est venu me sauver de cette prison, explique-t-elle. Ça a demandé beau­coup de travail, beau­coup de recherche. Trou­ver des avocats qui voulaient bien s’oc­cu­per de mon cas. Il savait que ça n’était pas ma desti­née que d’être rete­nue dans cette prison. Il savait que je méri­tais d’être dehors, libre, d’ex­pri­mer qui j’étais. Que j’avais juste besoin d’une figure pater­nelle un peu plus présente. C’est ce qu’il a fait. C’était une très grande preuve d’amour. Il a fait 11 000 km avec une avocate pour me sortir de prison. […] J’ai vrai­ment compris à ce moment-là que je pouvais comp­ter sur lui. »Dommage d’avoir dû arri­ver à cet extrê­me…


-Benjamin Castaldi Très bien­tôt aux manettes de la Nouvelle Star sur D8, Benja­min Castaldi est revenu sur sa carrière et les nouveaux chal­lenges qui l’at­tendent sur la TNT. Il en a aussi profité pour dire tout le« bien » qu’il pense de son ex-employeur, M6… Plus que vingt-quatre heures à attendre avant de voir Benja­min Castaldi faire son retour dans une émis­sion qu’il connaît bien et qu’il avait présen­tée durant quatre ans, Nouvelle Star. De 2003 à 2006, M6 lui avait confié les rênes de son télé-crochet audio­vi­suel. Une colla­bo­ra­tion qui s’était mal termi­née ; alors que la quatrième saison du télé-crochet était en cours de diffu­sion, les diri­geants de M6 l’avaient sommé de quit­ter le programme et l’avaient remplacé au pied levé par "Virgi­nie Efira.Benja­min Castaldi venait en effet d’an­non­cer à ses employeurs qu’il quit­te­rait la chaîne pour rejoindre TF1 et présen­ter Secret Story, ce qu’ils avaient moyen­ne­ment appré­cié. Et huit ans après ce débarque­ment, il semble toujours très remonté contre les patrons de M6 et leur poli­tique. Inter­rogé par nos confrères de <A  Médias sur l’im­por­tance d’avoir des visages connus pour incar­ner une chaîne de télé, c’est sans mâcher ses mots qu’il a répondu : « Etienne Mougeotte disait « TF1, c'est des figures ». […] Quand Mougeotte était à la tête de TF1, il disait « TF1, c'est Arthur, c'est Decha­vanne, c'est "Carole Rousseau" , c'est "Stéphane Bern, c'est Benja­min Castaldi, c'est "Flavie Flament"… ». Et je pense qu'une chaîne de télé­vi­sion, contrai­re­ment à ce que pensent certains, c'est des figures. Quand on voit la descente aux enfers de M6, ça prouve bien qu'ils se sont complè­te­ment mis le doigt dans l'œil. Une chaîne ne peut pas repo­ser que sur des formats. Si on n'a pas de figure, les formats se cassent la figu­re… Privi­lé­gier les formats d’émis­sion au détri­ment des anima­teurs ? Pour Benja­min Castaldi, « c’est une erreur» : « Il faut arrê­ter de dire des conne­ries ! C'est une énorme conne­rie ! Tout ça parce qu'ils ont peur que l'anima­teur leur vole la vedette. Il faut être complè­te­ment teubé pour penser ça. » Une chose est sûre, on n’est pas prêt de voir Benja­min Castaldi de retour sur M6…

-Nolwenn Leroy Abon­née aux Enfoi­rés depuis 2006, Nolwenn Leroy vient d’an­non­cer qu’elle ne sera pas sur la scène de l’Arena de Mont­pel­lier à la fin du mois."Du 21 au 26 janvier prochain, la Park ; Suites Arena de Mont­pel­lier rece­vra l’un des spec­tacles les plus appré­ciés des Français : Les Enfoi­rés. Comme chaque année, Mimie et toute leur clique pose­ront leurs valises le temps de quelques dates afin de mettre en boîte leur nouveau show : Sur la route des Enfoi­rés Grande habi­tuée de cette réunion pour soute­nir les Restos du cœur"https://www.facebook.com/nolwennleroyofficiel" son compte Face­book que l’artiste a écrit : " Depuis ma première participation au spectacle des Enfoirés en 2006, je n'avais jamais manqué le rendez-vous. Cette année, en raison de la préparation de ma tournée acoustique et ne pouvant être présente sur toutes les dates, je me vois obligée de faire une petite pause Bons concerts à tous ceux qui auront la chance de se rendre à Montpellier, "Sur la route des Enfoirés"!!! Plus que jamais, on compte sur vous ".

La liste défi­ni­tive des parti­ci­pants au show n’étant toujours pas fina­li­sée, ce désis­te­ment à quelques jours de la première laisse craindre le pire aux fans. Tout juste sortie de la promo­tion du film d’ani­ma­tion Le chant de la mer (dont elle signe certains morceaux de la bande origi­nale), sur le point d’en­ta­mer sa tour­née acous­tique (qui débute le 5 mars en région pari­sienne et se termi­nera en mai), Nolwenn Leroy a égale­ment annoncé son entrée immi­nente en studio pour l’en­re­gis­tre­ment de son sixième album. Un nouvel opus dans lequel nous retrou­ve­rons des chan­sons signées Pierre et Alain Souchon… Surboo­kée on vous dit !